« Cette situation m’a fait vivre de véritables montagnes russes émotionnelles. En quelques jours, nous avons vu chuter notre chiffre d’affaires puisque nous travaillons d’habitude sur place, en hôpital et dans l’industrie pharmaceutique.
Nous avons donc décidé l’arrêt total de nos activités. Mais début avril, nous avons reçu des appels de nos clients pharmaciens et hospitaliers nous demandant de trouver une solution pour leurs masques à usage unique, les fameux FFP2, afin de les réemployer après désinfection et stérilisation.
Il faut donc les tester, ce qui n’est pas, a priori, notre boulot ! En trois jours, nous avons créé un banc d’essai, répondant aux normes en vigueur sur les masques, sans équivalent, aujourd’hui, en Belgique. »