« Nous nous sommes sentis coupés dans notre élan car nous avions commencé l’année avec un chiffre d’affaires extraordinaire. Janvier et février n’avaient jamais été aussi bons.
J’ai 62 ans et mon épouse bientôt 60, nous avions besoin de ces rentrées réjouissantes pour poursuivre l’aventure. Lors de la fermeture, nous n’avons pas démarré de service traiteur ou de Take
Away, ce n’est pas notre métier.
Et nous ne sommes pas équipés pour répondre à ce type d’offre. Comment imaginer vivre une telle époque ? Voir notre restaurant vide était d’une tristesse implacable. »